L'année 2020 touche à sa fin et laisse derrière elle des conséquences socio-économiques. Covid-19 a entraîné plusieurs coûts financiers qui ont fait plier même les acteurs et les économies les plus solides, poussant de plus en plus à la réévaluation des investissements et à la réconciliation de leur capital. L'intégration des facteurs ESG est devenue une question centrale de l'investissement et de la prise de décision, et la tendance s'accélère encore.
L'importance de chaque facteur ESG varie en fonction des entreprises et des secteurs. Cela signifie que les entreprises et les investisseurs doivent être en mesure d'évaluer les problèmes potentiels d'une activité commerciale et de s'engager à les gérer.
L'Europe a déjà annoncé de nouveaux plans dans le secteur du développement durable, axés sur finance et investissement durablesLa Commission européenne a lancé un appel aux entreprises pour qu'elles publient davantage d'informations sur leurs activités et leurs résultats. performance et exposition aux risques climatiques. Taxonomie, deuxième directive sur les droits des actionnaires (SRD II), textes législatifs prudentiels, norme européenne sur les obligations vertes, écolabel européen sur les produits financiers, nouvelles lignes directrices sur la directive sur les rapports non financiers (NFRD) et bien plus encore, sont autant de directives déjà annoncées par la Commission européenne et qui entreront progressivement en vigueur à partir de 2021. Cependant, on ne sait pas encore dans quelle mesure les entreprises sont prêtes à intégrer les nouvelles données dans leurs performances en matière de développement durable.
En outre, pour répondre aux attentes susmentionnées, les entreprises doivent comprendre la nécessité de la transparence de leur chaîne d'approvisionnement. Il s'agit d'une défi crucial car de nombreux secteurs ne parviennent pas à intégrer les facteurs ESG dans leurs stratégies de chaîne d'approvisionnement.
Un autre défi important est l'économie circulaire elle-même. Le nouveau plan d'action pour l'économie circulaire est l'un des principaux piliers du Green Deal européen. Il vise à maintenir la valeur des produits, des matériaux et des ressources, en minimisant les déchets à la fin de leur cycle de vie. Les entreprises doivent revoir leurs processus de consommation, d'énergie et de fabrication. Il peut également s'avérer nécessaire de rénover complètement leurs modèles de production.
Alors que le département de recherche du CST continue de fournir des informations précieuses sur divers aspects de la durabilité et de la performance ESG, il poursuit son engagement en faveur d'une formation de haut niveau en matière de durabilité pour les cadres supérieurs et les responsables de la durabilité dans le monde entier.
Le présent une formation numérique stimulante de trois jours proposé en 18, 19, 22 février par le Centre pour la durabilité et l'excellence (CSE) vise à fournir aux professionnels du développement durable tous les outils et ressources les plus récents nécessaires à la mise en œuvre ou à l'amélioration des initiatives existantes en matière de développement durable.